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24 octobre 2020 6 24 /10 /octobre /2020 18:30
Claye-Souilly : promenade au bord du Canal de l'Ourcq
Claye-Souilly : promenade au bord du Canal de l'Ourcq
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22 octobre 2020 4 22 /10 /octobre /2020 21:07
Le rêve des parents et des petits écoliers va-t-il enfin se réaliser : auront-ils une école à Souilly ?

Construire une école à Souilly, c’est réduire les émissions de gaz à effet de serre et la pollution provoqués par les cars qui acheminent chaque jour les petits écoliers vers les différentes écoles du centre ville. Car il faut savoir que tous les enfants de Souilly ne vont pas dans la même école, on les met où il y reste de la place, comme en quelque sorte des bouche-trous.

Les nouveaux élus mettent en projet un nouveau Plan Local d’Urbanisme, dans ce nouveau PLU une école maternelle et primaire sera-t-elle à l’ordre du jour à Souilly ?

Un site pourrait, semble-t-il, accueillir cette école, celui de l’ex EDF.

Sur ce terrain de plus de 16 000 m2  sont stationnés des poids lourds, alors que le PLU ne le permet pas, on y voit même  dans un coin un véhicule avec une vitre brisée, des déchets jonchent le sol, plus loin c’est une benne à ordures qui y est entreposée….

La commune pourrait engager une négociation amiable avec le propriétaire pour l’achat de ce terrain.

Le Conseil Régional IDF et l’ETAT qui subventionnent à la pelle des projets privés de méthaniseurs pourraient, semble-t-il, aider la commune à financer cette école.

Pour un seul méthaniseur dans la commune voisine de Messy le Conseil Régional IDF et l’ETAT ont alloué une subvention de plus de 1 100 000 € aux agriculteurs, à Marchémoret  et Chauconin-Neufmontiers ce sont 3 200 000 € qui ont été alloués pour 4 méthaniseurs.

L’argent du contribuable ne doit pas servir à financer à la pelle des projets industriels  au détriment des équipements des communes (écoles, bibliothèque, salles de sports….)

 

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22 octobre 2020 4 22 /10 /octobre /2020 11:03

 

Paru dans le Journal de l’Environnement :

 

La PAC pas si verte des ministres européens de l’agriculture

Le 21 octobre 2020 par Stéphanie Senet

Le plafonnement des aides reste pour l'instant facultatif

S’il comporte de nouveaux «écorégimes» obligatoires pour tous les Etats membres, l’accord trouvé dans la nuit du 20 au 21 octobre par le Conseil des ministres de l'UE sur la PAC post-2020 maintient un plafonnement des aides et un paiement redistributif facultatifs.

«Cet accord répond à l’aspiration d’une PAC plus verte, plus juste et plus simple», assure la ministre allemande de l’agriculture et de l’alimentation Julia Klöckner. La ministre peut se féliciter de n’avoir pas dépassé sa ligne rouge : le caractère obligatoire des éco-régimes (eco-schemes) a été approuvé à une majorité qualifiée des ministres. Ce qui n’était pas gagné puisque la plupart des pays d’Europe de l’Est y étaient opposés, de crainte de devoir enclencher une transition écologique à marche forcée. Seule la Lituanie a voté contre tandis que la Lettonie, la Roumanie et la Bulgarie se sont abstenues. L’Allemagne, qui pilotait les débats, et la France ont largement œuvré pour les rendre obligatoires, sachant qu’une période transitoire de 2 ans a été actée, entre 2023 et 2025.

20% DES AIDES DIRECTES BLOQUÉES

L’accord trouvé par le conseil dote aussi ces nouveaux dispositifs de 20% des aides directes de la PAC (1er pilier). «C’est une énorme victoire vu l’état des négociations la semaine dernière», s’est félicité le ministère français de l’agriculture. A noter qu’une souplesse a été concédée aux Etats qui investissent beaucoup d’argent dans les aides du second pilier (développement rural), comme l’Autriche ou la Finlande. Ceux-ci pourront attribuer par exemple 5% seulement des aides directes aux éco-régimes s’ils investissent 15% des aides du second pilier dans les MAEC[1].

De son côté, le Parlement européen, qui votera définitivement sur sa position le 23 octobre, s’avère favorable à 30% au moins d’aides directes pour les éco-régimes, selon le compromis trouvé entre les trois groupes majoritaires (PPE, S&D et Renew). Au total, la PAC dispose du premier budget de l’UE avec 387 milliards d’euros pour sept ans.

DES ÉCO-RÉGIMES DÉFINIS PAR LES ETATS MEMBRES

Pourtant, ces dispositifs incitatifs restent encore flous. Le conseil les définit seulement comme «des aides financières supplémentaires pour les agriculteurs qui vont au-delà des exigences de base en matière d’environnement» et cite, comme exemples, l’agriculture de précision, l’agroforesterie et l’agriculture biologique. En réalité, leur contenu devra être défini au niveau national, dans le cadre des plans stratégiques nationaux qui seront soumis par chaque Etat membre à la Commission européenne. La France doit rendre sa copie en mai prochain, pour échange avec Bruxelles d’ici à fin 2021.

Le collectif Pour une autre PAC plaide pour l’inclusion d’au moins 4 paiements pour services environnementaux et climatiques (prairies permanentes, agriculture bio, infrastructures agroécologiques comme les mares et les haies, et gestion de l’assolement) et 2 pour le bien-être animal (absence de mutilation et accès à un extérieur pour les volailles et maternité libre et non en cage pour les truies).

AUCUNE AVANCÉE SUR LE PLAFONNEMENT

Autre bémol: le plafonnement des aides et le paiement redistributif (un paiement découplé favorisant les exploitations de petite taille) restent optionnels. Ce qui permet aux grandes exploitations de conserver, potentiellement, toutes leurs prérogatives. A noter que les aides couplées, qui représenteront 15% des aides directes, pourront être utilisées pour développer la culture de protéines végétales, et réduire ainsi les importations de maïs et de soja d’Amérique du Sud.

Le ministère de l’agriculture s’est par ailleurs félicité d’avoir obtenu un «droit à l’erreur» pour éviter des sanctions aux agriculteurs qui se seraient trompés dans leur déclaration. Il a ajouté que toute fraude restait en revanche sanctionnée dans le cadre de la clause de contournement, applicable dès que les conditions d’attribution d’une aide ont été créées de façon artificielle par un exploitant.

UN «IMMOBILISME COUPABLE»

Au contraire, les 40 associations du collectif Pour une autre Pac estiment que «l’accord présenté comme très vert ne répond à aucune des nombreuses attentes sociétales» et dénoncent «l’immobilisme coupable du Conseil qui condamne la prochaine PAC à servir un modèle agricole obsolète»«Si 30% des aides du 2nd pilier doivent être dédiées à l’environnement, celles-ci pourront désormais comprendre des aides à l’investissement, quelles qu’elles soient (comme l'achat de pulvérisateurs performants de pesticides, ndlr). Par ailleurs, l’agriculture biologique ne bénéficie pas non plus de nouvelles mesures. Un Etat n’a toujours aucune obligation de la soutenir. Il peut décider de ne rien y verser du tout», observe Aurélie Catallo, coordinatrice de la plateforme. Alors que la Commission européenne vise, dans sa stratégie Farm to fork, au moins 25% de la SAU de l’UE en bio en 2030, et une division par deux de l’utilisation des pesticides à la même échéance. Ce qui prouve la déconnexion de cette PAC post-2020 vue par les ministres du Pacte vert lancé par la Commission européenne.

Dès que le Parlement aura arrêté sa position, les négociations en trilogue pourront commencer. Un accord final est attendu début 2021, pour une entrée en vigueur de la future PAC au 1er janvier 2023.

 


[1] Mesures agro-environnementales et climatiques

 

https://www.journaldelenvironnement.net/article/la-pac-pas-si-verte-des-ministres-europeens-de-l-agriculture,110573?xtor=EPR-9#email=aleflo@club-internet.fr

 

 

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20 octobre 2020 2 20 /10 /octobre /2020 17:26
30.9.2020

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19 octobre 2020 1 19 /10 /octobre /2020 13:42
C'est près de cette écluse du Canal de l'Ourcq que Jean Piat souhaite implanter une décharge

C'est près de cette écluse du Canal de l'Ourcq que Jean Piat souhaite implanter une décharge

A Vignely, charmant village de 300 habitants, baigné par le Canal de l’Ourcq et la Marne, la dotation globale de fonctionnement versée  à la commune par l’ETAT est passée de 23 000 € en 2013 à 400 € cette année.

Il semblerait que ce soit l’une des raisons qui pousse le maire Jean Piat à accepter de recevoir les déchets des autres sur son territoire. En effet, les exploitants de déchets semblent cibler les petites communes en difficulté financière pour leur proposer des conventions pécuniaires contre l’implantation de décharge sur leur commune.

Nord 77 : l’ETAT veut-il affamer financièrement les villages ruraux pour les obliger à recevoir les ordures des autres ?

Il faut dire qu’une décharge de gravats de bâtiment cela arrangerait bien Jean-François Copé qui doit chercher des exutoires pour déverser les gravats des tours qu’il va bientôt faire détruire et puis il y a aussi les déchets du Grand Paris qu’il faut bien mettre quelque part.

 

Le montant de leurs impôts

distribué

par l’ETAT et le Conseil Régional IDF

pour financer

des projets industriels de méthanisation !

 

Ironie du sort dans les communes voisines de Chauconin-Neufmontiers et Charmentray l’ETAT (Ademe) et le Conseil Régional IDF ont alloué plus de 2 400 000 €  de subvention à destination d’une poignée d’agriculteurs pour financer des projets privés de méthaniseurs.

 

 

Paru dans le Parisien 77 :

La Seine-et-Marne ne veut plus être «la poubelle du Grand Paris»

Le projet d’un centre d’enfouissement de déchets inertes à Vignely, dans le Pays de Meaux, relance le débat autour du lourd tribut payé par le plus grand département d’Ile-de-France……

https://www.leparisien.fr/seine-et-marne-77/la-seine-et-marne-ne-veut-plus-etre-la-poubelle-du-grand-paris-13-10-2020-8402040.php

 

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18 octobre 2020 7 18 /10 /octobre /2020 18:17
MARCHEMORET : les habitants attendaient des aides pour réduire leur facture d’eau mais Valérie Pécresse  et l’ETAT préfèrent allouer une subvention  de 1 600 000 € à des agriculteurs pour 2 méthaniseurs !

En effet le Conseil Régional d’IDF et l’ETAT (Ademe) ont décidé d’allouer :

              - 800 000 € de subvention à Goële Bio Energie   (président Maurice Côme, directeurs généraux : Gaëtan Belloy,  Yves    Lecompte, Marc Maurice et Benoît Maurice)

800 000 € de subvention à Plaine de France Energie  Président Guillaume Thierry (ferme de Chantemerle à Lagny le Sec)

                         pour les aider à implanter deux méthaniseurs à Marchemoret (1).

 

Une facture d’eau qui explose !

Difficile à comprendre pour les habitants de Marchemoret que de telles subventions soit allouées à une poignée d’agriculteurs alors qu’en cette période difficile de Covid on leur impose de payer leur eau potable plus chère pour financer la rénovation du système d’assainissement des communes de la communauté de communes Plaine et Monts de France CCPMF.

Pascal Durand, président de la CCPMF et maire de Marchemoret n’a pas eu le choix :

Sa communauté de communes n’est pas bien riche car elle est constituée de villages ruraux souvent oubliés par l’ETAT et le Conseil Régional IDF quand il s’agit de leur attribuer des aides, mais que l’on n’oublie pas lorsqu’il s’agit d’y déverser les ordures des autres.

 

Ces méthaniseurs les habitants de Marchémoret n’en voulaient pas

 mais ce qu’ils souhaitent

 n’intéresse personne.

 

Alors comme d’habitude ils devront payer

subir et se taire

surtout se taire

 

 

(1) Page 65 et 69 https://www.iledefrance.fr/sites/default/files/medias/rapports/RAPCP2020-190DEL.pdf

 

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17 octobre 2020 6 17 /10 /octobre /2020 20:28
Une idée de promenade à  Villevaudé  sur l'aqueduc de la Dhuis
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15 octobre 2020 4 15 /10 /octobre /2020 17:51
CHARNY : les habitants attendaient des aides pour réduire leur facture d’eau mais Valérie Pécresse  et l’ETAT préfèrent allouer une subvention de plus de 900 000 € à 3 agriculteurs pour un méthaniseur !

En effet le Conseil Régional d’IDF et l’ETAT (Ademe) ont décidé d’allouer plus de 900 000 € de subvention à Laurent, Louis Courtier et Edouard Proffit (Charny Energie) pour les aider à implanter un méthaniseur à Charny (1).

Une facture d’eau qui explose !

Difficile à comprendre pour les habitants de Charny qu’une telle subvention soit allouée à 3 agriculteurs alors qu’en cette période difficile de Covid on leur impose de payer leur eau potable bien plus chère pour financer la rénovation de leur système d’assainissement et soutenir financièrement leur communauté de communes pour remettre en état plusieurs stations d’épuration dans les villages voisins.

Leur communauté de communes n’est pas bien riche car elle est constituée de villages ruraux souvent oubliés par l’ETAT et le Conseil Régional IDF quand il s’agit de leur attribuer des aides, mais que l’on n’oublie pas lorsqu’il s’agit d’y déverser les ordures des autres.

 

Alors comme d’habitude ils devront payer

subir et se taire

surtout se taire

 

 

(1) page 23 https://www.iledefrance.fr/sites/default/files/medias/rapports/RAPCP2019-247DEL.pdf

lhttp://www.fresnes-sur-marne.fr/fileadmin/user_upload/Accueil/Informations_Charny_METHANISATION.pdf

 

 

Paru sur le site de la commune de Charny

Au vu de l’important programme de travaux défini sur notre territoire (réseaux de collecte vieillissants, mise aux normes et reconstruction des stations d’épuration …) avec des délais de réalisation imposés par la Direction Départementale des Territoires de Seine et Marne (police de l’eau), la Communauté de Communes a souhaité augmenter et harmoniser les parts payées par l’ensemble de ses administrés.

Le prix de l’eau pour la collecte et le traitement des eaux usées est composé d’une part à destination du délégataire (SUEZ sur la commune de Charny) et d’une part à destination de la Communauté de Communes.

Pour la commune de Charny, le prix de l’eau fixé pour la part à destination de la Communauté de Communes était de 1 euros par m3 au 01 janvier 2019. Cette taxe a été portée à 2,71 euros par m3 à compter du 26 avril 2019.

Cordialement,

La Mairie de Charny

Voir courrier dans son intégralité

Courrier concernant Suez

http://www.charny77.fr/a-la-une/facture-assainissement-eau/

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13 octobre 2020 2 13 /10 /octobre /2020 20:08
26.9.2020

26.9.2020

26.9.2020

26.9.2020

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12 octobre 2020 1 12 /10 /octobre /2020 15:24

Article paru sur le site de l’association Bretagne Vivante :

 mercredi 2 septembre 202020

Usines de méthanisation bretonnes, nous exigeons un moratoire sur leur développement

 

Le 23 août 2020, l'usine de méthanisation de Kastellin à Châteaulin (29) a provoqué une pollution à l'ammoniaque de l’Aulne, privant ainsi que près de 200 000 personnes sur 40 communes d’eau potable. En cause, une fuite du produit de fin de fermentation (digestat) très chargé en nitrates.  C'est le 3ème accident de ce type en 3 ans.
N’y a -t-il pas un problème de gestion des risques liés aux méthaniseurs en Bretagne ?

 

Déjà en 2017, Eau et Rivières de Bretagne pointait le risque de fuite et d'écoulement comme l'un des problèmes liés à l'installation de ces usines de biogaz en Bretagne. La réponse apportée alors par les porteurs de projet fut lapidaire : ce risque n'existe pas !

 

Or, un risque qui « n'existe pas » ne peut être ni anticipé ni évité… Résultat, entre 2017 et 2020, 3 pollutions de cours d'eau du fait de fuites de méthaniseurs sont à déplorer en Bretagne.

Notons que les impacts de ce type de pollution restent difficiles à évaluer à court terme. Néanmoins, privant 180 000 personnes d’eau potable, l'impact humain est très important. Bretagne Vivante a ainsi déposé une plainte pour dégradation de la qualité de l'eau. L'enquête estimera les dégâts occasionnés, mais un suivi de la biodiversité du milieu pollué sur le long terme est indispensable.

Cet événement pointe du doigt, que d'une part, le risque de fuite existe et qu'il est anormal de ne pas s'en être préoccupé plus tôt. D'autre part, il prouve que, comme toutes installations industrielles, les usines de méthanisation doivent être soumises à une évaluation des risques avec, entre autres, une formation adéquate des exploitants, une culture de l’anticipation accrue, un contrôle et une évaluation en amont des lieux d'installation des usines.

Bretagne Vivante rappelle que le développement des méthaniseurs ne relève pas du métier d'agriculteur, mais de l'industrie. Cette technique, si elle n'est pas aboutie et suffisamment maîtrisée, induit des risques de pollution et des impacts importants sur l'environnement. La méthanisation industrielle n'est pas compatible avec une agriculture respectueuse des sols et de l'environnement. L'espace rural ne doit pas devenir le dépotoir des déchets créés par notre consommation exponentielle d'énergie, d'autant plus si nous la prétendons ''verte''.

Bretagne Vivante salue la décision du préfet de suspendre l'exploitation et s'associe à Eau et Rivières de Bretagne et la Fédération Bretagne Nature Environnement pour demander qu'un moratoire soit pris sur la poursuite des créations d’unité de méthanisation industrielles dans notre région.

Aller plus loin : Notre positionnement sur le développement de la méthanisation d'octobre 2017 est disponible sur notre site internet ICI

A l’initiative de paysans, consommateurs d’eau, environnementalistes, citoyens choqués par la pollution de l’Aulne par le Méthaniseur Kastellin rendant dangereuse la consommation d’eau du robinet de plus d’une quarantaine de communes du Finistère.

Nous, paysans de la terre, paysans de la mer, associations de protection de la nature et de consommateurs, consommateurs d’eau et citoyens, réclamons de la part de l’État et des Collectivités Territoriales :

1/ Un moratoire immédiat concernant le développement de l’industrie de méthanisation en Bretagne.

2/ L’engagement de l’État à suspendre les arrêtés d’autorisation des méthaniseurs en place et compléter la protection des rivières par de nouvelles prescriptions.

3/ La fin des aides publiques de la Région Bretagne, de l’ADEME et des Conseils départementaux à la méthanisation et leur redistribution vers la conversion du modèle alimentaire et agricole au service des paysan.ne.s et de la résilience des milieux naturels face au dérèglement climatique.

https://www.bretagne-vivante.org/Actualites/Usines-de-methanisation-bretonnes-nous-exigeons-un-moratoire-sur-leur-developpement

 

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