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16 novembre 2021 2 16 /11 /novembre /2021 15:18
17.5.2021 Le ru des Grues à Souilly (affluent de la Beuvronne)

17.5.2021 Le ru des Grues à Souilly (affluent de la Beuvronne)

 

Dans le but d’améliorer la qualité des eaux de cette rivière et de réduire les inondations plusieurs « contrats bassin Beuvronne » ont été financés par nos impôts : 1997-2002, 2002-2007 et le dernier 2012-2016 où 90 millions d’euros étaient destinés à améliorer la situation.

 

Pour obtenir les 90 millions d’euros de subventions il fallait monter des dossiers, mais semble-t-il, les élus membres des syndicats qui géraient cette rivière, n’ont pas souhaité demander toutes les subventions ce qui n’a pas permis à la rivière Beuvronne d’être moins polluée et d’y réduire les inondations.

 

Alors que l’ETAT avait supprimé en 1988 la seule station hydrométrique sur cette rivière à Compans  les élus des syndicats de rivières n’ont pas souhaité demander des subventions afin d’implanter des stations hydrométriques sur cette rivière et ses affluents afin d’en connaître le débit en continu et d’améliorer les connaissances sur les inondations ce qui permettrait de dimensionner les équipements de protection en conséquence.

 

Un exemple à suivre celui d’un syndicat dans le Mont Ventoux.

http://www.epagesomv.com/index.php/projets/reequipement-du-bassin-versant-en-stations-hydrometriques

 

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15 novembre 2021 1 15 /11 /novembre /2021 08:58
Compans 24/4/2015

Compans 24/4/2015

Historique :

C’est sur un « délaissé routier », une route fermée aujourd’hui, géré par la DIRIF, appartenant au Ministère de l’Ecologie, qu’une décharge illégale s’était constitué au fil des ans, vers 2014 une  population de Roms s’y était installé, puis avait quitté les lieux. Au départ des Roms, plutôt que de nettoyer correctement et boucher l’accès , les autorités avait laissé le site à l’abandon.

 

Ce n’est que quelque temps avant l’ouverture de la COP21 au Bourget, à quelques kilomètres de Compans, que le Ministère de l’Ecologie se décida à faire nettoyer le site.

L’opération de déblayage coûtera près de 300 000 € payés par l’argent de vos impôts.

Le site fut ensuite fermé et jusqu’à 2020 inaccessible.

 

Depuis 2021 la clôture a été retirée en bordure de la RD 212. Le site est de nouveau utilisé par la DIRIF pour faire, semble-t-il, des manipulations de terre dans le cadre des travaux de contournement de Roissy.

 

Pour éviter qu’une nouvelle décharge illégale ne s’implante à cet endroit il serait souhaitable que le ministère de l’écologie investisse dans un système de sécurité performant : clôture et caméra de surveillance.

 

Notre association a signalé aux autorités il y a plusieurs semaines l’absence de système de sécurité contraignant sur ce site mais nous constatons que L’ETAT n’a toujours pas  pris des mesures afin de fortement sécuriser ce site et nous le regrettons.

 

Pour mémoire, c’est en face de ce site qu’un spectaculaire incendie s’est déclaré le 31 août dernier dans un camp de Roms et une décharge illégale, les pompiers avaient mis près de 5 jours à circonscrire l’incendie.

 

voir les articles sur cet incendie :

https://actu.fr/ile-de-france/compans_77123/en-images-les-restes-spectaculaires-de-l-incendie-d-un-camp-de-roms-a-roissy_44806706.html

https://www.youtube.com/watch?v=Ta1Y_6_K9Ck

 

 

Pour toute information concernant ce dossier

nous vous conseillons de vous rapprocher

du sous préfet de Meaux

Nicolas Honoré

 

 

 

 

Paru sur le site Adenca :

24 avril 2015

Nord-Ouest 77 Compans : une monstrueuse décharge illégale sur un terrain appartenant au Ministère de l’Ecologie !

Compans 24/4/2015

Compans 24/4/2015

 

 

Les populations dans l’incompréhension

alors qu’elles viennent d’apprendre que la monstrueuse décharge illégale de Compans est située sur des terrains appartenant au Ministère de l’Ecologie.

 

Compans, village rural de 800 âmes, baigné par la Biberonne, affluent de la Beuvronne, situé au bord de la zone industrielle de Mitry-Compans qui compte 7 sites Seveso dont 3 à hauts risques, survolé par les avions de l’aéroport de Roissy.

C’est dans ce village que s’étend une monstrueuse décharge illégale depuis de nombreux mois sans que les services du ministère de l’Ecologie ne fassent évacuer les déchets.

 Les eaux de ruissellements de cette méga décharge se déversent dans la Biberonne, affluent de la Beuvronne, rivière qui se rejette en amont proche du plus important captage du 77 qui fournit en eau potable près de 500 000 habitants.

En effet, ironie du sort, c’est sur des terrains appartenant au Ministère de l’Ecologie que cette méga décharge illégale s’est installée et s’étend de jour en jour, des rats fréquentent le site, les ordures commencent même à déborder sur un rond point très emprunté par des centaines de  camions alimentant la zone industrielle de Mitry-Compans et venant de l'aéroport de Roissy…..

http://adenca.over-blog.com/2015/04/nord-ouest-77-compans-une-monstrueuse-decharge-illegale-sur-un-terrain-appartenant-au-ministere-de-l-ecologie.html

 

pour aller plus loin :

https://www.lesechos.fr/2015/06/la-decharge-illegale-de-compans-enfin-deblayee-249032

https://www.leparisien.fr/seine-et-marne-77/acheres-la-foret-77760/compans-une-decharge-sauvage-sur-un-terrain-du-ministere-de-l-ecologie-01-05-2015-4738237.php

https://www.leparisien.fr/seine-et-marne-77/compans-77290/compans-la-decharge-sauvage-du-ministere-de-l-ecologie-enfin-deblayee-23-09-2015-5119873.php

 

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14 novembre 2021 7 14 /11 /novembre /2021 11:35
9.11.2021

9.11.2021

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13 novembre 2021 6 13 /11 /novembre /2021 13:50
TRILBARDOU : barrage sur la Marne
TRILBARDOU : barrage sur la Marne
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10 novembre 2021 3 10 /11 /novembre /2021 18:12

 

Paru sur le site Claye-Souilly Découverte :

HISTOIRE CLAYE-SOUILLY : LA BEUVRONNE

http://claye-souilly-decouverte.over-blog.com/article-6356708.html

 

Publié le 4 novembre 2021 par Mireille LOPEZ

HISTOIRE CLAYE-SOUILLY : LA BEUVRONNE

                                               La Beuvronne à Vinantes

Au début du 19ème siècle si l’on se réfère à différentes cartographies le cours d’eau qui traverse Vinantes jusqu’à Compans se nommait « La petite Beuvronne » (aujourd’hui La Beuvronne) et celui qui prenait sa source à Moussy-le-Neuf « La Beuvronne » (aujourd’hui La Biberonne).

 De nos jours il en a été décidé autrement, la rivière qui prend sa source au delà de Vinantes est considérée comme le cours d’eau principal dénommé « La Beuvronne », son affluent est « La Biberonne » qu’elle reçoit sur la droite entre St Mesmes et Compans.

 

 Compte tenu de l’étymologie proche de Beuvronne et Biberonne, il est probable que ces deux rivières étaient colonisées par de nombreux castors.

 Parlons de la source de « La Beuvronne »,  ce sont plusieurs rus qui descendent de la forêt de Montgé au niveau des villages de Cuisy et Montgé-en-Goële qui forment un ruisseau  à Vinantes et  l’origine de la rivière.

  « La Beuvronne » traverse les villages de Vinantes, Nantouillet, St Mesmes, Messy, Gressy, Souilly, Claye, Annet s/Marne, Fresnes s/Marne et se jette dans « La Marne » entre Fresnes s/ Marne  et Annet s/Marne.

 « La Biberonne » passe à Moussy-le-Neuf, Moussy-le-Vieux, Villeneuve-sous-Dammartin, Thieux, Compans et se jette dans la Beuvronne entre Compans et St Mesmes.

 

Citons quelques moulins (disparus aujourd’hui pour certains) sur « La Beuvronne » :

-         « Moulin de Vinantes »,

-         « Moulin de la Haize » et « Moulin, chemin de St Mesmes à Nantouillet »,

-         « Moulin de  Tussac » à St Mesmes, 

-         « Moulin de Moulignon » à Messy (deux moulins dans la même cage),

-         « Moulin Rouge » à Gressy,

-         « Moulin de Souilly»,

-         « Moulin de Claye » (deux moulins dans la même cage),

-         « Moulin de Vilaine » à Claye,

-         « Le vieux Moulin »  à Fresnes s/Marne,

-         « Le Moulin de Fresnes s/Marne ».

 

sur «  la Biberonne » :

-         « Grand Moulin Dongé » à Thieux, 

-         « Moulin d’Ouacre » à Compans,

-         « Moulin de Condé » à Compans.

 

 A dater du 15/8/1813 les eaux de la Beuvronne sont introduites dans le canal de l’Ourcq et les moulins situés en aval : Souilly, Claye, Vilaine et Fresnes ne recevront plus que le trop plein de la Beuvronne, le ru des Grues et L’Arneuse ou Reyneuse et disparaîtront progressivement.

 

Sources :

Carte IGN 2413 OT.

AN : -F20/293,  ET/XCVII/741 .

 Médiathèque de Meaux :

 - Sté d’Histoire et d’Archéologie de la Goële 1991.92.

 - Carte topographie arrondissement de Meaux dressée par Bonnet 1822.

 - Carte topographique par L. Denis Géographe 1778.

 - Claye-Souilly et le pays de la Beuvronne, Claude Cajat, Presses du Village,

 Médiathèque Claye-Souilly :

 - Si Gressy m’était conté Raymond Selleret.

 Le ru venant de Cuisy en direction de Vinantes

Le ru venant de Cuisy en direction de Vinantes

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9 novembre 2021 2 09 /11 /novembre /2021 18:14
6.1.2021 CLAYE-SOUILLY : une nouvelle fois l'eau potable non conforme aux références de qualité
6.1.2021 CLAYE-SOUILLY : une nouvelle fois l'eau potable non conforme aux références de qualité
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8 novembre 2021 1 08 /11 /novembre /2021 11:05
14.7.2021 Claye-Souilly parking centre ville

14.7.2021 Claye-Souilly parking centre ville

Plusieurs secteurs du centre ville et environnant ont été encore inondés à 3 reprises entre juin et juillet dernier ( Résidence de l’Eglise, résidence de la source bleue, rue de Vilaine, allée des Soupirs ainsi que tout le secteur autour du collège des Tourelles….).

14.7.2021 Claye-Souilly La Source Bleue

14.7.2021 Claye-Souilly La Source Bleue

 

Pour rassurer ces sinistrés les élus annoncent le projet dit de « renaturation de la Beuvronne » qui « devrait » réduire les inondations de quelques centimètres dans ces secteurs d’après les « modélisations » du bureau d’étude, un projet qui coûtera plus de 440 000 €, payés par vos impôts.

 

Ce n’est pas ce qu’attendent les sinistrés, ils veulent ne plus être inondés.

 

Pourquoi ne construit-on pas en amont du centre-ville de Claye-Souilly un important bassin de rétention comme celui près du lotissement de Mauperthuis ?

 

Jean-Luc Servières, après avoir voté pendant des décennies tous les Plans Locaux d’Urbanisme qui permettaient une augmentation importante de l'urbanisation  même dans les secteurs proches de la Beuvronne ou ses affluents, doit prendre des mesures radicales rapidement pour assurer la sécurité de ces quartiers  de plus en plus sinistrés par les inondations.

 

Pour aller plus loin :

http://adenca.over-blog.com/2021/10/claye-souilly-la-construction-d-un-important-bassin-de-retention-d-eau-pour-proteger-le-centre-ville-des-inondations-c-est-pas-pour

 

 

 

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6 novembre 2021 6 06 /11 /novembre /2021 20:05
Le Canal de l'Ourcq à Claye-Souilly
Le Canal de l'Ourcq à Claye-Souilly
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4 novembre 2021 4 04 /11 /novembre /2021 15:27

Paru sur le site Reporterre

Méthanisation : faire plus petit, pour voir plus grand

Méthanisation : faire plus petit, pour voir plus grand

28 octobre 2021 à 15h23Mis à jour le 1er novembre 2021 à 18h14

Durée de lecture : 5 minutes

La biomasse agricole peut contribuer de façon efficace, économe et écologique aux objectifs de mix énergétique de la France, soutient l’auteur de cette tribune. Ne reste qu’à réguler la méthanisation et à valoriser l’énergie produite.

Dominique Potier est député PS de Meurthe-et-Moselle, spécialiste des questions agricoles et rurales.


 

La dérive que nous observons actuellement dans le développement de la méthanisation est un cas d’école de l’absence d’une ligne claire en matière de déploiement des énergies renouvelables dans notre pays. Elle illustre plus largement et de façon caricaturale le risque d’une incohérence entre les fins et les moyens dans l’action publique.

Portée par des pionniers aussi passionnés d’innovation que soucieux d’éthique, la méthanisation a été initialement pensée en vue de la valorisation énergétique de la biomasse issue notamment des effluents d’élevage [1], des déchets organiques de l’agroalimentaire, de la part fermentescible des déchets ménagers et des stations d’épuration, et de façon plus marginale de l’entretien des espaces verts et des accotements routiers.

Or, et de façon paradoxale, la géographie actuelle des méthaniseurs est relativement indifférente à celle de ces ressources, mais correspond largement à celle des entreprises disposant des capacités financières les plus importantes et à celle des réseaux de transport d’énergéticiens devant souscrire à l’obligation d’intégrer du gaz « vert ».

Un désordre écologique

Les conséquences sur nos territoires sont facilement observables :

  • une prédation de ressources qui fragilise au long cours notre sécurité alimentaire commune ;
  • une concurrence déloyale qui accélère le phénomène d’accaparement des terres par l’usage ou la propriété au détriment des systèmes de polyculture-élevage et du renouvellement des générations d’agriculteurs ;
  • un désordre écologique avec des effets incalculables sur la santé des sols, de l’eau, la biodiversité et enfin une inquiétude grandissante quant à l’impact logistique sur les infrastructures rurales.

Cette situation ubuesque est le fruit d’un déphasage absurde entre un niveau d’aide publique élevé (aide à l’investissement, tarif de rachat) et l’absence de contrôles effectifs des installations. L’État délivre des autorisations sans disposer ni des ressources humaines ni des instruments permettant de vérifier la réalité des intrants (ce qui entre dans le méthaniseur) et de l’épandage des digestats (ce qui sort du méthaniseur).

Un méthaniseur en Ille-et-Vilaine. © Julie Lallouët-Geffroy/Reporterre

Un méthaniseur en Ille-et-Vilaine. © Julie Lallouët-Geffroy/Reporterre

La méthanisation peut être bénéfique

Le temps est venu, au nom de l’intérêt général, de stopper cette dérive. En premier lieu, un éclairage est attendu de la science sur deux points : d’une part, évaluer si la jauge actuelle de 15 % de ressources alimentaires méthanisable est globalement soutenable et, d’autre part, quels sont les effets du développement exponentiel des cultures intermédiaires à vocation énergétique [les cultures que l’on peut mettre dans les méthaniseurs pour produire de l’énergie] sur les cycles de fertilité.

Deux voies complémentaires doivent ensuite être explorées afin que la biomasse agricole contribue de façon efficace, économe et écologique aux objectifs de mix énergétique de notre pays.

La première voie vise une normalisation des pratiques : une certification garantie par l’autorité publique, un niveau d’exigence des autorisations administratives d’installation proportionné aux enjeux environnementaux, une politique tarifaire sélective en faveur des projets les plus vertueux et enfin un minimum de planification à l’échelle, par exemple, des intercommunalités (SCOT).

Une seconde voie, plus radicale, mérite également d’être explorée. 70 000 unités de stockage des effluents d’élevage (fosses à lisier) ont été bâties à partir des années 1990 en application de la directive nitrate. C’est, à l’échelle nationale, une immense ressource quasiment inexploitée de 13,7 millions de tonnes de CO2 qui pourraient être valorisées en énergie.

« Une équation économique est possible, permettant de consolider le revenu des agriculteurs. »

Même à technologie constante, les retours d’expérience dont nous disposons nous enseignent que pour une part des élevages bovins et porcins, une équation économique est possible, permettant de consolider le revenu des agriculteurs, dès lors que l’énergie produite peut être valorisée. En effet, si ces effluents produisent moins d’énergie que certaines cultures, les investissements à réaliser sont en contrepartie sans commune mesure avec ceux du modèle actuellement dominant.

Sur le plan écologique, le bénéfice de cette économie circulaire et totalement décarbonée dans sa mise en œuvre permettrait d’atteindre un objectif majeur en matière de réduction des gaz à effet de serre en captant un méthane (CH4) dont les scientifiques du Giec et de l’Inrae nous rappellent son pouvoir de réchauffement vingt-cinq fois supérieur à celui du CO2.

Produire de l’énergie par la valorisation du méthane disponible, avec un meilleur partage de la valeur et en préservant intégralement notre sécurité alimentaire, serait de nature à sortir des controverses actuelles.

Un effort de recherche inédit devra, demain, viser une performance accrue de tels systèmes. Mais, dès aujourd’hui, il est essentiel pour le débat démocratique de mesurer le bénéfice social, économique et environnemental de la réorientation des crédits publics actuellement consacrés à la méthanisation vers une vision renouvelée de celle-ci.

Dans le cas de la méthanisation, comme pour toutes les autres énergies renouvelables, la construction d’une doctrine claire et une puissance publique jouant pleinement sa fonction régulatrice et d’aménagement du territoire serait de loin la meilleure alliée de l’entrepreneuriat et de l’initiative locale au service du bien commun.

 

https://reporterre.net/Methanisation-faire-plus-petit-pour-voir-plus-grand

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3 novembre 2021 3 03 /11 /novembre /2021 16:31
Vue sur la décharge Veolia de Claye-Souilly

Vue sur la décharge Veolia de Claye-Souilly

 

Un record dont le nord Seine et Marne aurait bien aimé se passer, parmi les 6 plus importants émetteurs de Méthane de France en 2019 la décharge Veolia de Claye-Souilly est classée 4ème rejointe de près par la décharge voisine Suez d’Isles les Meldeuses  à la 6ème place.

 

Comme nous vous le précisions dans nos précédents articles la décharge Veolia de Claye-Souilly est depuis des dizaines d'années dans le peloton de tête des plus importants émetteurs de Méthane de France.

 

A l’occasion de la COP 21 le PDG de Veolia Antoine Frérot indique qu’il veut augmenter le captage du Méthane sur ses décharges mais en même temps lors de la CSS de ce début d’année l’industriel indique pour sa décharge de Claye-Souilly  classée 4ème plus important émetteur de Méthane de France en 2019 :

« Le réseau de captage est bien dimensionné et les couvertures efficaces pour limiter les émissions diffuses »

 

 

Ce ne sont pas des effets d’annonces à chaque COP

mais des mesures effectives que les populations attendent.

 

 

Extrait de l’article paru sur le site VEOLIA :

28 OCT. 2021

La COP 26 va s'ouvrir à Glasgow (Royaume-Uni) le 31 octobre jusqu'au 12 novembre, six ans après la signature de l’Accord de Paris

Champion de la transformation écologique, Veolia sera exemplaire pour le climat….

 

 

Les engagements climat de Veolia revus à la hausse

Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) conclut, dans son rapport publié le 6 août 2021 intitulé The Physical Science Basis, que le climat est en train de changer partout dans le monde plus rapidement que prévu : nous n'avons désormais plus le choix, il faut absolument maintenir la hausse des températures à 1,5°C d’ici la fin du siècle pour respecter l’Accord de Paris sur le climat
C'est pourquoi, en se conformant à la Science Based Target initiative (SBTI)
(1) qui mobilise les entreprises pour fixer des objectifs scientifiques vers une économie décarbonée, Veolia ambitionne de doubler son objectif à 10 ans de réduction de ses émissions de GES, avec deux leviers en particulier : la sortie du charbon en Europe d’ici à 2030, et l’augmentation du captage du méthane sur les centres de stockage des déchets. Les objectifs chiffrés, en cours d'élaboration, seront validés en 2023 et intégrés dans le nouveau plan stratégique du Groupe.

https://www.veolia.com/fr/nos-medias/actualites/cop26-veolia-sapprete-doubler-ses-engagements-reduction-demissions-ges-se

 

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