CONGIS SUR THEROUANNE 06/2010
ADENCA
Association de Défense de l'ENvironnement de Claye-Souilly et ses Alentours
"Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le
mal,
mais par ceux qui les regardent agir et qui refusent d'intervenir."
Albert Einstein
CONGIS SUR THEROUANNE 06/2010
Maladies cardiovasculaires
Pourquoi une surmortalité
en Seine et Marne ?
Quelles en sont les causes ?
Pourquoi ne fait-on pas
d'études sanitaires dans ce département ?
Les chiffres de la santé en Ile de France 2011 (Source ARS) :
Maladies cardiovasculaires
la Seine-et-Marne et l’Essonne connaissent une situation de surmortalité très significative.
Paru sur le site Greenpeace :
Fashion Victim ?
Comment êtes-vous habillé aujourd’hui? Jetez un œil à vos vêtements. Touchez les. Oui, certes, vous touchez un vêtement. Vous touchez un type de tissu. Vous touchez quelque chose que vous avez choisi… Mais vous aussi touchez beaucoup plus que ça. Car il y a une histoire derrière ce morceau de tissu.
Pas moins de 70 pour cent des rivières, des lacs et des réservoirs en Chine sont touchés par la pollution des eaux. Lors d’enquêtes récentes, Greenpeace a identifié des liens entre un certain nombre de grandes marques du textile et les usines textiles en Chine qui déversent des produits chimiques dangereux dans les rivières.
http://static2.greenpeace.fr/blog/uploads/2012/11/10-11_HD.jpghttp://static2.greenpeace.fr/blog/uploads/2012/11/10-11_HD.jpg
Des enquêtes de suivi ont révélé la présence de substances chimiques dangereuses dans des articles vestimentaires en magasin, des produits qui passent dans l’environnement, à l’occasion d’un lavage par exemple, et se dégradent dans l’eau pour former des produits chimiques toxiques qui dérèglent le fonctionnement hormonal. (Lire le résumé du rapport en français )
Ces produits chimiques constituent une grave menace pour la santé humaine et l’environnement, empoisonnant de précieux cours d’eau dans le monde entier.
Unehistoire qui ne nous plaît pas
Nos vêtements, nous les choisissons. Ils aident à refléter qui nous sommes … Nos vêtements ne devraient pas être une menace.
Aujourd’hui, nous refusons d’accepter, et de simplement consommer.
Aujourd’hui, nous mettons en lumière les liens entre les ateliers de confection de vêtements utilisant des produits dangereux et la pollution de l’eau. Notre enquête a porté sur 20 marques de vêtements, et a inclus des tests sur 141 produits vendus par des enseignes connues et reconnues de la mode, comme Zara, Calvin Klein, Mango, Tommy Hilfiger ou encore Vero Moda.
Nous demandons aujourd’hui aux marques de promouvoir un futur sans produits toxiques et de collaborer avec tous leurs fournisseurs afin d’exclure les produits chimiques dangereux de leur chaîne d’approvisionnement et de leurs produits.
De remplacer ces produits dangereux par des alternatives plus sûres.
De faire la transparence sur les pratiques de leurs fournisseurs car les personnes qui vivent à proximité des usines et des rivières ont le droit de savoir ce que contient l’eau.
Des ouvriers dans l'usine de tissus de Youngor, Ningbo, China
Unefois leur engagement individuel mis en œuvre, les entreprises influentes ont également le pouvoir de catalyser le changement dans l’industrie des vêtements de sport et de la mode en travaillant en collaboration avec les autres. Ils peuvent créer la tendance. Et nous pouvons les y pousser !
Nous y sommes déjà parvenus par le passé : 7 grandes marques internationales de mode (Puma, Nike, Adidas, H&M, M&S, C&A et Li-Ning) se sont déjà engagées… Grâce à vous.
Mais aujourd’hui, Zara reste bouche cousue sur ce sujet. Zara est un leader du prêt à porter, nous avons besoin de son engagement !
POURQUOI UNE PENURIE DE MEDECINS AU NORD-OUEST
SEINE ET MARNE
dans cette région où l'on compte
autant de sites polluants ?
Les chiffres de la santé en Ile de France 2011 (Source ARS) :
Cancers chez les femmes
Pourquoi une surmortalité
en Seine et Marne ?
Quelles en sont les causes ?
Pourquoi ne fait-on pas
d'études sanitaires dans ce département ?
Les chiffres de la santé en Ile de France 2011 (Source ARS) :
La situation des Franciliennes face au cancer est moins favorable que celle des hommes : l’incidence des cancers féminins tend à augmenter dans la région depuis 1990.
Surtout, l’Île-de-France se caractérise par une surmortalité des femmes par cancer.
La mortalité par cancer des femmes franciliennes est supérieure à la moyenne nationale, essentiellement liée à une forte surmortalité par cancer du poumon (écart de 20 % par rapport à la moyenne nationale), et, dans une moindre mesure, par cancer du sein (écart de 6 %).
La mortalité féminine par cancer est supérieure à la moyenne métropolitaine dans plusieurs départements franciliens (77,93, 95).
Blé : la moisson route de Messy Claye-Souilly 5/8/2012
Lieudit l'Ambrésis Villeparisis
FAUSTINE LÉO | Publié le 30.10.2012, 07h00
Les défenseurs de l’environnement y voient une décharge de plus. L’agriculteur incriminé, Roger Legrand, s’en défend ardemment, arguant avoir voulu rehausser de deux mètres ses 18 ha de champs pour de meilleures récoltes. Toujours est-il que la Direction départementale des territoires (DDT) a ordonné à la société RTR, qui apportait des déchets issus de chantiers du BTP, de cesser toute activité sur la parcelle de l’Ambrésis à Villeparisis, le long de la Francilienne.
« Ce remblaiement a eu lieu sans les autorisations nécessaires, estime l’administration. Le stockage des déchets inertes n’est possible que dans un centre de stockage régulièrement autorisé et soumis à autorisation préfectorale. » « Mais je n’ai jamais voulu faire une butte, s’insurge Roger Legrand. Juste éviter à mes cultures de pourrir parce que le terrain est indrainable. Je me suis inspiré d’un collègue de Saint-Cyr-sur-Morin. Ce n’est pas la panacée mais je n’ai pas d’autre solution. Des prélèvements ont été faits sur les camions. J’ai voulu me blinder mais aussi ne pas mettre n’importe quoi dans mon champ. »
L’agriculteur, qui a opté là pour une solution bien plus économique que l’apport de terre, assure ainsi qu’aucune analyse n’a révélé de pollution. « Je ne demande pas mieux qu’à être contrôlé », poursuit celui sur les champs duquel ont déjà été érigés des remblais, à Claye-Souilly, devenus parc du Papillon-de-la-Prée. « En plus, le champ est le long de l’A 104, je ne peux vraiment pas me cacher. J’avais des autorisations de la mairie. » Ce que dément la municipalité. « Nous n’avons jamais rien accordé, insiste Jean-Claude Poupet, adjoint à l’urbanisme. Certes, le Code de l’urbanisme ne demande pas d’autorisation pour un rehaussement de moins de deux mètres et de moins de 20 ha. Mais pas le Code de l’environnement. C’est d’ailleurs nous qui avons averti les services de l’Etat. »
En question, les dégats sur la nature
Ce sont d’ailleurs les éventuels dégâts sur la nature qui inquiètent l’Association de défense de l’environnement de Claye-Souilly et ses alentours (Adenca). « C’est en bordure d’une zone humide, à proximité du bois régional du Moulin-des-Marais et du ru des Grues, affluent de la Beuvronne et du canal de l’Ourcq, énumère sa présidente, Mireille Lopez. On ne sait pas ce qui peut s’écouler de ces déchets. On ne peut tout de même pas implanter des décharges n’importe où. » Elle craint surtout une régularisation a posteriori de la situation. « Dans la pratique, ça se passe souvent comme ça », regrette Franck Rolland, conseiller municipal EELV à Villeparisis. La DDT déclare, quant à elle, que « les services de l’Etat sont en lien constant avec l’entreprise concernant ce dossier. Différentes solutions sont à l’étude, celle qui sera la plus favorable à l’environnement sera retenue ».
Le Parisien
Sébastien Blondé | Publié le 28.09.2012, 07h00
Cinq cents mètres de long, 100 m de large et 20 m de haut à son point culminant. Les dimensions du projet de merlon dans un champ entre le hameau de Bagneaux, à Aubepierre-Ozouer-le-Repos, et l’usine GPN de Grandpuits, sont impressionnantes. Et si les 90 habitants de Bagneaux sont pour la création d’une barrière paysagère de protection, ils sont en revanche contre le million de mètres cubes de déchets inertes qui la constituerait en cas de validation par la préfecture : « On est pour une protection contre les nuisances sonores et une éventuelle explosion, indique Sylvie Fortier, l’une des habitantes du hameau.
Mais pas pour une décharge ! »
Des nuisances engendrées par le ballet des camions
Le dossier, dont l’évolution est l’un des points à l’ordre du jour du conseil municipal de ce soir à 20 heures, en mairie d’Aubepierre, suscite un tollé général à Bagneaux. « Jamais je prendrai de position contraire à la volonté de la population, assure Pierre Cuypers, le maire de la commune. Comme nous sommes demandeurs, c’est moi-même, avec la population, qui donnera un avis définitif. Je me battrai jusqu’au bout. Ce projet ne verra pas le jour. » Le discours se veut rassurant, même si le dossier doit être à nouveau évoqué dans quelques jours à la préfecture.
S’il faisait état à l’origine de l’édification d’une butte de terre arborée, il s’est en effet transformé cet été en projet d’installation de stockage de déchets inertes (Isdi), sur une parcelle de l’agriculteur propriétaire du champ visé, moyennant finances. Une sorte de consensus trouvé par la préfecture, alors que c’est GPN qui devait, selon un arrêté préfectoral du 15 décembre 2010, mettre en œuvre « dans un délai de deux ans » cet écran visuel paysager. L’entreprise mettrait d’ailleurs aussi à disposition un bout de terrain afin que le merlon protège encore davantage Bagneaux. « Pour GPN, c’est un moindre mal car ça ne leur coûtera rien », assène Jean-Michel Rouilleaux, un proche habitant.
Outre la composition du merlon, le ballet des camions devant transporter le million de mètres cubes de déchets en question alarme aussi les riverains. Si la Direction départementale des territoires table sur deux à trois ans de travaux, les habitants, qui misent sur au moins deux ans de plus, s’inquiètent de la circulation des poids lourds « sur des routes pas adaptées » et des nuisances engendrées par ce trafic. « Si ce sont des déchets inertes, on préfère ne rien avoir », lance Graziella Lagouarde, une autre habitante.
Le Parisien
Crégy les Meaux :
des ordures encore des ordures....
Dernière minute
Crégy les Meaux
La mairie confirme son projet d'implanter une décharge de déchets inertes sur son territoire
A Crégy les Meaux on connaît bien les décharges, c’est en effet dans cette commune qu’était implantée la décharge connue à travers toute la France après l’évacuation de tout un quartier en juin 1999 à la suite d'émanations massives de biogaz.
Extrait de l’article du Parisien de Seine et Marne 24/3/2009 :
Tout le quartier avait été évacué en juin 1999 à la suite d’émanations massives de biogaz, explosif et inflammable, de l’ancienne décharge. L’exploitant Aubine-Onyx, racheté depuis par Veolia, vient d’être condamné par la cour administrative d’appel à verser 800 000 €. La commune de Crégy-lès-Meaux et la communauté d’agglomération du Pays de Meaux chacune à 600 000 €.
Pour aller plus loin des informations sur l'ancienne décharge :
http://adenca.over-blog.com/article-une-nouvelle-decharge-a-cregy-les-meaux-111442275.htm
http://www.asmsn.org/ancien_site/Dechets/cregy_les_meaux.htm
Les seine et marnais
ne veulent pas d’un compost pollué sur leurs terres de Brie.
Si Paris ne peut pas stocker ses ordures,
à minima qu’elle les trie
Pour voir les photos de la manifestation de Paris de samedi
les nombreux cars de police
comment on avait parqué les manifestants
consultez le site de l’Arivem
http://arivem.free.fr/crbst_74.html